L’épidémie de Covid est-elle terminée ? Est-il désormais inutile de se désinfecter les mains ?
C’est ce qu’annoncent parfois certains décideurs, pensant réaliser de petites économies, dans une situation économique certes tendue, mais qui nécessite au contraire de renforcer la compétitivité et la santé des entreprises et de lutter contre l’absentéisme…
Les maladies saisonnières/ORL (grippes, rhumes, bronchiolites…) existaient avant Covid et continueront à sévir demain ! Elles représentent à elles seules plus de 70 % des arrêts de travail courts.
Sachant que 80% des contaminations entre collaborateurs passent par les mains, n’est-il pas important pour les chefs d’entreprise de préparer ces périodes où l’absentéisme peut être un vrai problème pour le bon fonctionnement de leurs sociétés ?
L’absentéisme en quelques chiffres :
Le taux d’absentéisme au travail est en France d’environ 5.5%. Un chiffre en augmentation constante depuis 2014. On notera aussi que le nombre de salariés, malade au moins une fois par an, a lui aussi augmenté de près de 10%…
L’absentéisme varie selon l’ancienneté, le sexe, l’âge, le type d’activité et même le contrat de travail… Les chiffres utilisés dans cet article sont des moyennes nationales.
Les arrêts maladie de courte durée (1 à 3 jours) représentent 40% de la totalité des arrêts maladie.
Des absences qui coutent cher !
On estime que l’absentéisme couterait environ 110 milliards d’euros par an (une perte de 5% des heures de travail), soit l’équivalent du budget annuel de l’Éducation nationale ! Une charge que se partage évidemment les entreprises et l’État par le biais de la Sécurité sociale…
Pour les entreprises la facture est salée. Le coût direct du maintien de salaire 2021 est estimé en moyenne à 85 euros par jour d’absence et à 3 300 euros par an par salarié absent. Ce qui représente 3,3 % de la masse salariale, en hausse de 27% par rapport à 2018.
Et ceci, sans compter les coûts indirects (coût de remplacement, perte de productivité) qui pourraient, selon certains experts, alourdir de trois fois les coûts directs (250 euros par employé par jour d’arrêt de travail).
Exemple de l’impact des seuls arrêts de travail ORL pour une entreprise de 200 personnes :
Avec un taux d’absentéisme moyen de 5.5%, 11 employés sont en arrêt de travail chaque jour : 6 arrêts de travail « longs » + 5 arrêts de travail « courts » (dont 3 pour des pathologies ORL).
Nous avons donc pour pour une moyenne annuelle de 253 jours ouvrés, un coût direct des arrêts de travail ORL de 64000 euros par an. La facture s’élève jusqu’à 200000 euros par an avec les coûts indirects.
Les chefs d’entreprises responsables ont compris qu’il y a sur cette question des arrêts maladie ORL des actions simples et concrètes à initier pour protéger la santé des collaborateurs, réaliser des économies substantielles et améliorer la productivité.
Place à l’action ciblée :
La maîtrise de l’absentéisme ORL nécessite une mobilisation de l’ensemble des acteurs concernés (salarié, médecin traitant, entreprise, …).
Des campagnes de sensibilisation et d’information pour favoriser l’hygiène sont autant de réponses adéquates pour traiter des arrêts courts causés par des maladies saisonnières.
Convaincre le collaborateur : Les pathologies ORL semblent anodines mais peuvent avoir en fonction de chacun, des conséquences lourdes pour la santé.
En finir avec les gels chimiques, agressifs, alcooliques et stressants ?
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